Maitresse le féminise lui impose des collants et ses caprices

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Pantyhose collants bas petite culotte corset
il y a 10 ans
Je viens d’envoyer mon soumis acheter des sous-vêtement pour moi, à la boutique en bas de la rue. Il connaît mes mensurations, ce sera donc facile pour lui, il n’aura qu’à indiquer à la vendeuse l’ensemble noir exposé dans l’angle de la vitrine.

Elle apercevra sans nul doute son collier de soumis, ce qui le fera rougir comme d’habitude. Sous ses vêtements masculins, il porte mes sous-vêtements et un collant. J’adore lui faire porter ce que j’avais sur moi la veille, cela m’amuse de le féminiser en allant au-delà de son fétichisme. Eric est fétichiste des collants, le pantyhose comme il dit, les toucher, les caresser, l’excite tout comme embrasser mes jambes et mes pieds lorsque j’en porte.

Comme je suis une Maîtresse attentionnée, je l’oblige à en mettre pour satisfaire son fétichisme, là, il aime nettement moins, tout comme porter mes sous-vêtements mais il n’a pas le choix !

Ce soir je sors avec mes copines, nous allons au cinéma. Mon soumis quant à lui restera à la maison, une petite surprise l’attend. Par sécurité, j’ai prévenue mon amie, s’il m’arrive quelque chose il faudra qu’elle vienne le délivrer.

Par précaution, j’installe une toile cirée sur le lit, les bracelets et les chaînes aux anneaux que je lui ai fait installer aux quatre coins du lit. A son retour, je lui ordonne de se mettre nu puis d’enfiler mes collants résille ouvert entre les jambes, puis mon corset que je serre le plus fortement possible. Je conduis ensuite Eric ainsi vêtu à la chambre. A la vision de ce qui est sur le lit, il baisse les yeux, j’aime ces moments où il sait qu’il va être mon jouet. A ma demande, il s’étend sur le ventre en se plaignant que la toile cirée est froide, ce qui est le cadet de mes soucis. Deux minutes plus tard, il est entravé sur le ventre bras et jambes en croix.

Pendant qu’il médite, je vais finir de me maquiller, au bas mot, une petite heure, avant de revenir le voir avec tous mes sous-vêtements sales sortis de la machine à laver, la lessive étant initialement prévue pour demain. Assise jambes écartées sur l’oreiller, je lui offre ma chouchoune à lécher histoire de l’exciter encore plus avant ma surprise, puis aussi je l’avoue, d’apprécier ses caresses, Eric étant une très bonne langue….. L’heure tourne, il faut que je me dépêche un peu maintenant où je vais manquer la séance de huit heures.

Je lui mets dans la bouche le string que j’ai porté aujourd’hui, il ne risque pas de s’étouffer avec car il est mini mini, puis recouvre son visage des culottes que j’ai portées cette semaine, culottes qu’il a portées le lendemain. Cela va lui permettre apprécie mon odeur pimentée par la sienne…. Afin qu’il ne puisse les retirer en frottant son visage sur le lit, j’enfile un collant par dessus que je fixe autour de sa tête en faisant des nœuds avec les jambes des collants.

  • Ce soir je sors, je vais au cinéma avec mes copines, si un de leur copain est bisexuel, je lui offrirai tes fesses, et s’il accepte, cela nous fera du spectacle.

  • Hummmmm ! Fait Eric en tirant sur ses entraves tout en faisant « non » de la tête.

  • Tu es trop chou comme ça, s’il est bi, tu vas l’exciter à mort, c’est un truc à te faire défoncer ta petite rondelle de soumis.

  • Hummmmm !

En quittant la maison je me traite de garce, mais en BDSM, les soumis n’aiment-ils pas être le jouet de leur Maîtresse ? Pendant la soirée et le passage « obligatoire » à la brasserie, je ne dis rien à personne sur ce qu’il se passe chez moi, hormis mon amie, personne n’est au courrant. Trois heures plus tard, j’arrive à convaincre mon amie Sandrine de venir boire un verre chez moi puis de voir ce que j’ai fait à mon soumis. Lorsque nous entrons à la maison, je vais voir si mon jouet va bien, il est toujours entravé et n’a pas pu se délivrer. J’adore !

Sandrine accepte un Malibu chargé, puis un deuxième encore plus chargé avec de la glace. Elle ne connaissait pas et adore. A nos heures perdues et au gré de nos envies, nous sommes un peu lesbiennes toutes les deux, elle ne s’offusque donc pas quand je passe derrière elle pour malaxer ses gros seins généreux en l’embrassant de partout dans le cou. Entre mes caresses et le Malibu, Sandrine s’abandonne totalement à mes mains devenant encore plus coquines. La sentant prête à mes envies perverses, je la tire par la main dans ma chambre pour lui faire voir mon soumis et lui demande de me rendre service : lui faire croire qu’elle est un mec et qu’elle va le sodomiser.

Elle ne doit pas parler, juste retirer sa jupe et se coucher entre ses jambes pour frotter son ventre contre les fesses offertes d’Eric. Avec tout ce qu’il a sur la tête, il ne risque pas de voir que c’est une femme ! Sandrine accepte de jouer le jeu et monte sur le lit. Quand je monte à mon tour sur le lit pour m’asseoir sur l’oreiller, Eric prend peur en comprend aussitôt que je ne suis pas seule et tire sur ses entraves, en vain.

Je sais qu’il n’est pas bi et le laisse s’affoler en retirant le collant qui maintiennent mes culottes. Est-ce le Malibu ou une âme de Maîtresse qui fait que Sandrine s’éclate à traumatiser Eric ? Je ne saurai le dire, mais elle se frotte gaiement contre ses fesses. A peine a-t-il la tête libre, qu’Eric regarde derrière lui et découvre que ce n’est pas un homme qui joue avec ses fesses. Rassuré, il laisse carrément tomber sa tête sur le lit en poussant un grand « pfffffffffff » de soulagement mais je n’en ai pas encore terminé avec lui. D’une main je l’attrape par les cheveux, de l’autre j’écarte mon string en descendant un peu sur l’oreiller pour lui offrir ma chouchoune à lécher. Sandrine surprise s’arrête de bouger, d’un clin d’œil je la rassure en lui faisant signe de continuer.

  • Tu sais que c’est une très très bonne langue, si tu as des envies, je te le prête !

Gênée, Sandrine me fait des « non » de la tête, je l’attire alors contre moi pour l’embrasser. Etendue sur Eric, pendant qu’elle me rend mon baiser, mes mains partent à l’asseau de sa poitrine, son « déclencheur » comme elle se plait à le dire. Je change de position pour l’étendre sur le lit et la dévorer. J’ai envie d’elle, elle ne cherche pas à me fuir et s’offre à la main que je glisse entre ses cuisses. A  f o r c e  de persuasion câline, j’arrive à la convaincre d’essayer la langue d’Eric, au début elle est gênée, mais juste au début….. Goûter à la langue de mon soumis, c’est l’adopter. Pendant qu’elle se fait brouter en ronronnant comme une chatte, je prends les menottes dans le tiroir de ma table de nuit, pour entreprendre de libérer les bras de mon soumis et lui menotter les poignets dans le dos. Je fais de même avec ses jambes puis l’attrape par les cheveux pour l’obliger à se lever avant de foncer sur la chouchoune de Sandrine, déjà bien échauffée.

  • Va voir à côté si on y est, soumis !

Tout penaud, Eric sort de la chambre en affichant une monstrueuse érection, mon petit jeu l’a excité, j’en suis ravie. Deux heures plus tard, de bonheur et de tendresse entre femmes, j’appelle Eric pour lui retirer ses menottes tout en tirant le drap sur nous. D’autres idées perverses me sont venues.

  • Va nous chercher deux verres de Malibu avec de la glace et au pas de course.

Eric s’exécute aussitôt, mais passe un peignoir entre-temps.

  • Je ne t’ai pas demandé de mettre un peignoir, tu seras puni pour ça demain matin, pour l’instant met-toi à genoux aux pieds du lit et masse nos pieds.

Nous trinquons à la santé du soumis rouge comme une écrevisse en échangeant quelques baisers, pendant qu’il nous masse les pieds, chose que je lui ai apprise à faire dès le début de notre rencontre. Dans ma grande générosité, je lui accorde le droit de lécher mes pieds pendant qu’il masse ceux de Sandrine, appréciant réellement son savoir faire.

  • As-tu aimé ma surprise soumis ?

  • Oui beaucoup mais j’ai eu très peur à certain moment !

  • On répond oui qui banane ?

  • Oui Maîtresse !

  • Comme tu nous as bien léchée et bien massée les pieds, tu as le droit de te branler.

  • Merci Maîtresse ! Répond Eric en se levant pour quitter la chambre.

  • Tu vas où là, je ne t’ai pas dit de partir. Maintenant c’est toi qui nous fais le spectacle, exécution !

Eric est blême ! Debout face à nous aux pieds du lit, il entreprend de se masturber sans grande conviction. J’attrape aussitôt des pinces à seins dans ma table de nuit et le lui tend avec comme ordre de se les mettre de suite, avant de lui demander d’une voix persuassive, si je dois aussi sortir son gros plug pour qu’il nous fasse une belle prestation. Dans ses yeux je vois la haine, d’une main j’attrape le plug et lui fait voir, il baisse aussitôt les yeux et se met à l’ouvrage après avoir mis les pinces sur ses tétons. Lorsque je sens qu’il va jouir, je lui demande de tout récupérer dans sa main, en précisant que je ne veux pas de tache de sperme dans ma chambre.

Les grimaces de son visage annoncent l’arrivée imminente de la conclusion qu’il récolte en serrant son gland dans la paume de sa main pendant que je me lève du lit pour lui attraper le poignet. Au moment où je dirige sa main vers son visage en lui ordonnant de lécher, Eric fait la grimace, il a horreur de ça et je le sais.

  • C’est ta punition pour avoir mis un peignoir sans ma permission, lèche ou en plus tu vas prendre une fessée  pour te motiver !

Encore une fois dans ses yeux on peut voir la haine, j’aime par-dessus tout quand il lutte contre l’envie de m’envoyer bouler. Il s’exécute aussitôt car il sait que je ne plaisante pas.

  • Bien, j’aime quand tu es un bon soumis obéissant. En récompense, tu as le droit de prendre une de mes chemises de nuit puis de te faire un lit de fortune par terre sur la moquette. Tu as le droit de dormir près de nous. Par contre, tu gardes le corset sur toi, cela te fera de jolies marques et des souvenirs pour la semaine. Demain matin, tu nous réveilles à huit heures en nous apportant le petit déjeuner au lit.

Connaissant bien la maison puisque cela fait maintenant un an que nous passons tous les week-ends et vacances ensembles, Eric attrape une couverture et un oreiller dans l’armoire, puis les jette sur le sol de mon côté du lit avant d’éteindre la lumière et de se coucher. En guise de berceuse, il a encore quelques petits bruits très érotiques de filles qui câlinent, Sandrine ayant été très excitées par ce qu’elle a vécu ce soir……

Ecrivaillon

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Cette histoire est grisante
bonjour, en effet très belle histoire. merci pour ce récit
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